dimanche, janvier 21, 2007

Adieu à la neige???

La neige, une "espèce en danger": les stations de ski alertent les touristes - Yahoo! Actualités

S'il faut en croire les propriétaires de stations de ski, même la neige est en voie de disparition. Il en sont à sérieusement travailler à diminuer l'impact de la pollution sur notre environnement en empêchant les voitures d'accéder aux stations. Un premier pas mais un pas qui montre que tout le monde prend conscience du problème.

Même si c'est pour des questions d'ordre financier et qu'ils le font pour essayer de sauvegarder leur gagne-pain, qui vient de la nature elle-même, il faut apprécier le fait que les gens commencent à se mobiliser et à faire des gestes concrets pour essayer de sauver notre planète.

Il ne manque plus qu'à nos dirigeants et à nos pollueurs principaux à suivre le mouvement. Après tout, si notre planète explose, plus de profits pour eux non plus...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je pensais justement la même chose à ce sujet. Ce sont les détenteurs de capitaux qui ont la solution aux problèmes de l'environnement. Ils peuvent bien polluer pour s'enrichir mais que vaudra leur argent s'ils n'ont plus les moyens de le dépenser...(petit jeu de sens) puisque la planète ou plutôt l'Homme n'existera plus. Les scientifiques se disent à l'heure actuelle extrêmement préoccupés par la question étant donné que leurs prévisions (négatives) s'avèrent pour une fois positives. ( je ne pouvais pas m'empêcher de la faire cela là aussi...) Habitant un pays nordique depuis toujours et ayant fait plus que ma part dans le domaine du pelletage, si ce n'était qu'une question neige, je crois que je ne pleurerais pas...

Martine a dit…

Merci Adrian pour votre soutien. Mais je pense que même si vous seriez soulagé de ne plus avoir à pelleter la neige (tient, un homme qui fait du pelletage!!!! Wow!!!) je suis à peu près sûre que vous trouveriez bien triste des fêtes sans au moins un peu de blanc... (comme cette année d'ailleurs ou est-ce que je me trompe déjà?).

Bref, je m'égare, il est plus que temps d'agir en effet.